Si je puis me permettre :
d’une part, les experts ne sont pas tous payés par les fabriquants de machines à voter ou une administration favorable, souvent il en est de deux (au moins) opinions contradictoire ;
d’autre part je ne vois pas quel fondement théorique peu rendre le vote électronique plus difficile à falsifier (c’est-à-dire plus facile à vérifier) que le vote papier, car les méthodes de triche sur le papier sont bien connues, et compréhensible par tout citoyen, alors quels méthodes de triche informatiques sont très mal connues des militants politiques et citoyens engagés qui (...)