Dans ces conditions, il est légitime de se demander si le vote des primaires de l’UMP n’a pas été altéré par des tiers. L’UMP s’en défendra sûrement, mais les faits sont là, ils sont vérifiés, Paragon a mis en place une infrastructure de vote particulièrement faible et vulnérable, pas même à jour de failles dont les correctifs sont disponibles depuis plus de six mois